Ce 20 janvier, c’est la fête de l’armée. Une armée qui mérite d’être vraiment fêtée quand on regarde dans le rétroviseur.

Ces dernières années, les plus grandes satisfactions des maliens sont venues des fronts de combats. Des fronts sur lesquels, des hommes et des femmes, nuits et jours se battent, sa relâche, au prix de leur vie pour redonner à notre pays sa souveraineté, sa dignité.

Une dignité que nous avions presque perdue quand les fous de Dieu, après des attaques meurtrières, prenaient tout leur temps pour filmer les camps dévastés et nous jeter ces atrocités en pleine face via les réseaux sociaux. Il arrivait qu’ils passent des jours sur place histoire de dire, de nous dire, que rien ne pouvait leur arrivée.

Ces scènes, depuis la montée en puissance de nos forces armées, ne sont plus d’actualité. Plus de deux ans qu’aucun camp n’a été attaqué de front. Plus deux ans que la stratégie adoptée par nos forces armées est l’offensive. Plus de deux ans que des chefs terroristes parmi les plus recherchés du monde tombent comme mouches dans les sables chauds de Kidal et de Tinzawaten.

Le « repos éternel » est la prescription de nos Famas aux forces du mal. Alors oui, en ce 20 janvier, sachant les défis encore énormes, nous devons chanté le Janjo pour nos Famas. Ces braves et intrépides guerriers qui tombent souvent pour que le Mali reste toujours débout.

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