Ce matin,AP nous apprend que Trump demande aux habitants de Gaza d’aller en Egypte et en Jordanie. Il débloque des bombes pour l’usage des israéliens. Objectif: nettoyer la palestine.
Au même moment, il compte rencontrer Vladimir Poutine pour lui demander de “mettre fin à la guerre avec l’Ukraine”.
Depuis sa réintégration à la maison blanche suivie de ses décisions saluées ou huées, il faut reconnaître que l’homme au visage orange ne laisse personne indifférent.
Analystes,chroniqueurs, éditorialistes du monde entier ne manquent plus de matières. Ils ont suffisament de grains à moudre et ce pour les quatre prochaines années.
Ce sont ceux payés à la piges qui vont le plus en profiter en écrivant certainement que les décisions de Trump sont de la trompérie.
Ils vont s’indigner contre les actes d’un homme qui pourtant améliore conséquement leur fin de moi. Paradoxe!
C’est justement cela Trump, le paradoxe fait homme. À lui seul, il fait rugir de joie une partie de la foule et exaberbe au même moment l’autre moitié. Avec lui sonne l’ère du binaire.
La nuance que nous appelons de tous nos vœux, essentielle dans toutes analyses n’a pas de place chez l’Oncle Sam.